Observations

Selon nous, le véritable libre arbitre n’existe pas pour l’homme, et n’existera probablement jamais. Pour qu’il existât, il eu fallu que l’homme s’autodéterminât, or il est impossible de s’autodéterminer pour une créature.
Voici notre propos : ne provenir d’aucune source et disposer de tous les pouvoirs serait l’unique moyen de s’autodéterminer. Autrement dit, seul Dieu — s’il existe — a pu s’autodéterminer et disposer à ce titre du libre arbitre.
Nous pourrions imaginer possible que des (…)

Est-il juste qu’un descendant subisse la condamnation d’un ascendant ? Il s’agit là de la question principale de cet article qui se veut bref dans le but de concentrer toute notre attention sur une incohérence manifeste qui, malgré son caractère flagrant, échappe à beaucoup de croyants.
Reposons cette question : Est-il juste qu’un enfant paie pour la faute d’un parent ? La réponse paraît évidente : non ! Non, il n’est pas juste pour un enfant de subir une punition pour la faute de l’un ou (…)

Tout est question de terminologie ! Et si l’on peut trouver cette affirmation discutable en certaines circonstances, on ne le peut assurément pas quand il s’agit de questions se rapportant à la conjecturale existence de Dieu. Mais déjà faudrait-il parvenir à définir de “quoi” l’on parle quand on parle de Dieu. La notion de Dieu — de tout ce que ce mot revêt — est en elle-même extrêmement difficile à appréhender. Par exemple, essayer de le faire à la fois à partir du point de vue déiste et du (…)

Le gros problème avec Dieu — et même le colossal problème —, c’est qu’il ne nous parle pas de façon directe.
Les monothéistes vous diront que Dieu n’a pas besoin de communiquer avec nous de façon directe, pas besoin de s’abaisser jusqu’à nous, puisque, pour eux, tout témoigne de son existence et de sa grandeur. Or, si Dieu existe tel que les monothéistes nous le décrivent, il devrait nécessairement communiquer avec chacun d’entre nous au travers d’échanges directs. Oui, avec chacun d’entre (…)

Si l’on pense que la mort est l’inverse de la vie, c’est-à-dire l’absence totale d’activité organique et l’extinction complète de la conscience, la mort n’a alors rien d’effrayant. La mort ne nous fait donc peur que si nous doutons de l’absence totale de sensations une fois passé de vie à trépas ; nous fait donc peur si nous croyons qu’une fois morts nous ne sommes pas vraiment morts ! Car une fois sortis du champ des sensations, de quoi pourrions-nous avoir peur ?
À titre personnel, je (…)

La certitude de notre disparition charnelle et, pour certains, de notre destruction complète à venir, modifie en profondeur notre comportement à tous.
Cependant, nous ne devenons pas tous d’indécrottables égoïstes, uniquement intéressés par notre plaisir immédiat, nos intérêts personnels (ou ce que nous considérons comme tels), prêts pour certains à toutes les bassesses, pourvu qu’elles leur apportassent quelque satisfaction…
Non, la funeste perspective ne nous transforme pas tous en (…)

LA CONCORDE UNIVERSELLE OU LA GRANDE HARMONIE OU ENCORE L’UNION PARFAITE
La définition la plus concise qui puisse être donnée de ce qu’est la Concorde Universelle que nous appelons de nos vœux se trouve à la fin de 1 Corinthiens 15:28 : « […] afin que Dieu soit tout pour tous » .
Quand l’Humanité tout entière sera heureuse de son sort et de plier le genou devant Dieu , sans peur, sans arrière-pensée, simplement par amour et respect, alors la Concorde Universelle sera atteinte qui, seule, (…)

Selon TLFi, un don correspond à l’action de donner, de céder gratuitement et volontairement la propriété d’une chose.
L’on peut recevoir un don (en être le bénéficiaire) ou le faire (être le donateur).
Si l’on s’en réfère à cette définition classique du mot “don”, nous devons admettre que la vie n’en est pas un. Pourtant, l’on parle assez facilement du “don de la vie” ; cela nous semble naturel car, effectivement, nous recevons la vie gratuitement, sans l’avoir méritée, comme l’on (…)

Les passages bien connus des Évangiles qui affirment qu’un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits (et qu’inversement un mauvais arbre ne peut porter de bons fruits) semblent compréhensibles et parfaitement exacts. Cependant, l’existence de l’Adversaire de Dieu contredit ces passages.
L’apparition du mal (qui était censé ne jamais se concrétiser mais plutôt rester toujours virtuel) est donc un contrexemple remarquable, fut-ce le mal “incarné” en la personne du père du mensonge. Même (…)

La réponse à cette question cruciale nous semble devoir être négative ! Donc, non, le mal n’existerait pas si Dieu n’existait pas !
Pourquoi pensons-nous que si Dieu n’existait pas le mal n’existerait pas non plus ? Tout simplement car seul Dieu détermine ce qu’est le bien, oui, seul Dieu est habilité à en fixer les limites. À partir de là, si Dieu n’existe pas, le bien n’existe pas, et si le bien n’existe pas, le mal n’existe pas non plus, car le mal se définit exclusivement par rapport (…)