Théisme

La réponse à cette question cruciale nous semble devoir être négative ! Donc, non, le mal n’existerait pas si Dieu n’existait pas !
Pourquoi pensons-nous que si Dieu n’existait pas le mal n’existerait pas non plus ? Tout simplement car seul Dieu détermine ce qu’est le bien, oui, seul Dieu est habilité à en fixer les limites. À partir de là, si Dieu n’existe pas, le bien n’existe pas, et si le bien n’existe pas, le mal n’existe pas non plus, car le mal se définit exclusivement par rapport (…)

Il nous est plus ou moins facile d’appréhender le monde réel, celui de la matière. Il nous est en revanche moins facile d’appréhender les mondes irréel et préréel. Pourtant, ces mondes coexistent. Par exemple, Jésus a fait allusion au monde préréel quand il a dit qu’un homme qui regarde une femme au point de la désirer a déjà commis l’adultère avec elle dans son cœur .
L’homme en question n’aurait peut-être jamais le moindre contact physique avec la femme convoitée, néanmoins, Jésus (…)

L’Homme est ainsi fait qu’il croit comprendre les choses quand il les simplifie.
Il faut pourtant se méfier des simplifications, des raccourcis, des explications qui n’en sont pas ou pas vraiment…
Quand on se penche sur le monde matériel — du vivant comme de l’inanimé —, c’est-à-dire le monde réel, on en arrive très vite à réaliser combien la moindre chose qui le compose est complexe.
NOUS VOUS SUGGÉRONS DE LIRE L’ARTICLE [MONDES IRRÉEL, PRÉRÉEL ET RÉEL (…)

Pour justifier l’attentisme de Dieu, d’aucuns avancent que s’il était intervenu sitôt son autorité défiée, Dieu aurait semé le doute dans l’esprit des témoins ayant assisté au défi qui lui était lancé.
Au travers de diverses explications, certains mouvements religieux prétendent que Dieu ferait face à un défi auquel il ne pouvait se soustraire s’il voulait régler une fois pour toutes la question de la légitimité de sa souveraineté.
Par extrapolation, les tenants de cette croyance (…)

Les chrétiens considèrent la mort de Jésus comme le sacrifice propitiatoire pour leurs péchés.
Quelques questions soulevées par ce sacrifice :
L’homme appelé Jésus de Nazareth, né à Bethléem il y a un peu plus de deux mille ans, et considéré comme le fondateur du christianisme, est-il le résultat d’un miracle divin ?
Pour certains chrétiens, que Dieu (le Tout-Puissant) ait transféré la vie de son Fils céleste premier-né dans la matrice de Marie, sans recourir à un inséminateur humain, (…)

Certaines personnes souhaitent ardemment vivre à jamais, sans plus avoir au-dessus de la tête une épée de Damoclès — l’épée de Damoclès étant ici, vous l’aurez compris, le fait que la mort puisse leur tomber dessus à n’importe quel moment ! (Accident, maladie, mort naturelle…)
La Bible fait miroiter aux humains cette merveilleuse espérance de ne jamais mourir .
Preuve logique basée sur l’interdiction évoquée au début du récit biblique : l’homme risque la mort en cas de désobéissance ; (…)

Les hommes ont tendance à croire qu’il y a “quelqu’un” ou “quelque chose” au-dessus d’eux, responsable de leur origine, c’est-à-dire, plus globalement, responsable de l’apparition de la vie sur Terre et, en fin de compte, responsable de l’univers tout entier.
C’est rassurant de se dire que “quelqu’un” ou “quelque chose” de surhumain préside à notre destinée et est la cause de notre existence. À l’inverse, si nous ne sommes qu’un accident, c’est-à-dire le résultat de combinaisons opportunes (…)

Pour se convaincre que Dieu connaissait à l’avance le sort potentiel de l’Humanité, il suffit de répondre à cette autre question : Dieu a-t-il décidé que nous mourions ? La réponse à cette autre question est “oui” ! Cette réponse peut paraître provocatrice, néanmoins, Dieu a bel et bien décidé de faire mourir Adam et Ève, conformément à sa mise en garde, et a bel et bien décidé d’étendre cette malédiction sur leur progéniture.
Sachant qu’Adam et Ève lui désobéiraient éventuellement, Dieu a (…)

Selon le dictionnaire TLFi, être responsable c’est, entre autres, répondre des actes des personnes dont on a la garde ou la charge.
[Commentaire] Il nous semble raisonnable de penser que la création soit sous la garde et à la charge du Créateur, sauf à imaginer que cette création ait été pensée par le Créateur pour jouir d’une pleine autonomie, ce qui n’est pas le cas. L’interdiction première prouve que l’Humanité n’était pas censée jouir d’une pleine autonomie, au moins initialement. (…)

L’une des raisons principales qui empêchent certains humains de croire en l’existence de Dieu est qu’il a toujours laissé souffrir l’Humanité. Or, ayant tous les pouvoirs, Dieu aurait pu intervenir pour que les innombrables injustices ne se produisent pas.
Dieu a de tous temps décidé de ce qui est bien (bon) et de ce qui ne l’est pas. C’est même ce qui le détermine par excellence.
Ces humains deviennent incrédules en raison de la contradiction apparente qui existe entre l’édiction par (…)