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DIEU SAVAIT-IL À L’AVANCE CE QUI RISQUAIT D’ARRIVER À L’HUMANITÉ ?

vendredi 26 janvier 2024, par Spart (human writer)

Pour se convaincre que Dieu connaissait à l’avance le sort potentiel de l’Humanité, il suffit de répondre à cette autre question : Dieu a-t-il décidé que nous mourions ? La réponse à cette autre question est “oui” ! Cette réponse peut paraître provocatrice, néanmoins, Dieu a bel et bien décidé de faire mourir Adam et Ève, conformément à sa mise en garde, et a bel et bien décidé d’étendre cette malédiction sur leur progéniture.

Sachant qu’Adam et Ève lui désobéiraient éventuellement, Dieu a délibérément imaginé dès leur conception (ou avant même leur conception) le processus de leur dégénérescence. Dieu a en effet prévu — et, donc, décidé — que les humains seraient mortels en certaines circonstances, sans attendre qu’ils le méritent. Dieu n’a pas improvisé les choses.

Le fait que les humains soient mortels pourrait déjà suffire à attester que Dieu avait prévu la possibilité qu’ils le deviennent, exactement comme si cela avait dès le départ fait partie de son plan.

La logique [1] nous incite à croire que les humains n’étaient pas censés mourir à la base. Seule leur insoumission à Dieu pouvait les rendre mortels [2]. C’est du moins la conclusion à laquelle nous ne pouvons qu’aboutir, sauf à imaginer qu’ils étaient originellement mortels, ce qui relèguerait le récit biblique à une mascarade, ou à imaginer qu’il leur était impossible de ne pas chuter. Et, là aussi, nous ne pourrions nous empêcher de trouver le récit biblique digne de peu d’intérêt.

Avant d’aller plus loin, il faut que nous nous entendions sur la définition du mot “Dieu”. Il est question ici de l’Être éternel, créateur de tout ce qui existe, matériel et immatériel, animé et inanimé. Autrement dit, nous parlons de l’Être Supérieur, de l’Être Initial, Unique, du Grand Planificateur et Grand Stratège, oui, du Seul Être qui n’a pas eu de commencement, ayant rendu potentielle l’existence de toutes choses, ayant ensuite rendu possible l’existence de toutes choses, puis ayant fait exister toutes choses en les concrétisant ou en les laissant se produire, et rendant potentielle l’existence de toutes choses à venir, sans que, jamais, quoi que ce soit ne lui échappe ni ne puisse lui échapper.
Car il faut bien comprendre que toutes choses existant potentiellement — les meilleures comme les pires —, c’est-à-dire encore inexistantes, existent potentiellement uniquement parce que le Dieu dont nous parlons — le Dieu Suprême — a rendu possible leur potentialité. C’est Lui qui est à l’origine de tout, oui, qui est la cause de tout — qu’il s’agisse de choses concrètes, de choses abstraites ou de ces deux catégories de choses dans leur potentialité — et personne d’autre !

Sans ce Dieu et sa volition, nulle chose ne serait venue à l’existence. Sans ce Dieu, la potentialité de cette chose — qui est une forme de préexistence — serait demeurée éternellement en état de latence.

En supposant que ce créateur de l’univers dont nous parlons existe réellement, celui-ci ne peut se défausser des malheurs de la Terre sous le prétexte qu’il est bon. Il ne serait pas moins vrai de dire que — parce qu’il est bon justement — Dieu ne se défausse résolument en aucunes circonstances. Il est le créateur de tout et, à ce titre, il est responsable de tout, au moins par ricochet, sauf à imaginer qu’il soit inconséquent. Mais s’il n’est pas inconséquent, il est au contraire responsable de sa création, et, donc, impliqué dans les souffrances de l’humanité, les maladies, les catastrophes naturelles… au moins dans leur potentialité, puisqu’il les a rendues possibles et qu’il les a permises, quand il ne les a pas provoquées directement ou indirectement.

N’est-il pas le Grand Concepteur de l’univers ? N’a-t-il pas établi les règles du “jeu” ?

Pour ceux qui apprécient les comparaisons, nous pourrions comparer Dieu à un inventeur génial, capable d’inventer une bombe ultrapuissante, ne condamnant pas l’accès au détonateur en présence d’un bambin. Diriez-vous que si le jeune enfant venait à déclencher l’explosion de cette bombe, l’inventeur ne porterait aucune part de responsabilité dans les dégâts que provoquerait la bombe ? Non, n’est-ce pas ? « Comparaison n’est pas raison », nous en sommes d’accord. C’est pourquoi nous nous emploierons à développer quelque peu le raisonnement qui nous amène à percevoir la responsabilité de Dieu dans les malheurs du monde. Il est sans doute opportun de préciser d’emblée que nous ne nous posons pas en accusateurs, contrairement à l’impression qu’un tel raisonnement peut donner.

Venons-en au cœur de notre propos : s’il existe plusieurs façons de faire quelque chose et que l’une de ces façons peut entraîner une catastrophe, il se trouvera forcément quelqu’un pour emprunter cette voie tôt ou tard, possiblement intentionnellement, possiblement au pire moment [3]. Cela, Dieu ne pouvait l’ignorer.

L’intentionnalité n’est pas exclue de la possibilité que la moins bonne des décisions soit prise un jour, quelque part… Mais l’involontarisme peut également présider au choix de la mauvaise voie. Les pires décisions peuvent résulter de manques de réflexion par exemple, et ne pas être sciemment mauvaises. Il ne faut pas systématiquement attribuer à la malveillance ce que l’ignorance, la bêtise, la maladresse ou le manque de compétence suffit à expliquer [4]. Cela non plus, Dieu ne pouvait l’ignorer.

Dès lors qu’une chose arrivera tôt ou tard parce que la possibilité lui en est offerte — ce qui ressort des principes que nous venons d’énoncer —, c’est-à-dire dès lors qu’existe la potentialité de l’avènement de cette chose, la responsabilité de celui qui l’a rendu possible est engagée.

Dans le cas de l’histoire de l’Humanité, on peut dire sans peur de se tromper que ç’a très mal commencé dès le départ. On pourrait carrément parler de faux départ !

La Bible ne précise pas combien de temps il fallut pour qu’Adam et Ève renoncent à l’attachement qu’ils devaient démontrer envers leur Créateur, mais nous savons qu’Ève a mis au monde son premier enfant après avoir désobéi à l’ordre de ne pas manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Nous pouvons dès lors en conclure que l’Humanité a très vite dévié de la trajectoire que Dieu voulait lui voir prendre. Il serait à peine exagéré de dire que cette trajectoire a dévié immédiatement ! Au point de se demander d’ailleurs si elle n’a pas pris la seule direction possible, ce qui fera l’objet d’un autre article dont l’assise est quelque peu dévoilée à la fin de cet article-ci.

Le bien implique le mal, au moins dans sa virtualité. Sans bien, pas de mal. Sans mal, pas de bien. Les deux sont indissociables. Cette considération nous semble incontournable. L’indissociabilité du bien et du mal n’est évidemment pas ignorée par Dieu puisqu’il en est l’Auteur.

En décidant de créer l’univers, Dieu a délibérément créé le mal. Non qu’il aimât le mal, ni qu’il souhaitât le voir pratiquer ou le pratiquer lui-même, mais parce qu’il lui était absolument impossible de créer un monde juste sans avoir recours aux notions du bien et du mal.

Dieu a donc créé le bien et le mal parce qu’en créant le bien il ne pouvait pas faire autrement que de simultanément créer le mal dans sa potentialité, le mal étant inhérent au bien et le bien inhérent au mal. Si l’un existe, l’autre existe par conséquence.

Le jour viendra où le mal n’existera plus que dans sa potentialité. La corrélation entre le bien et le mal ne disparaîtra pas, mais seul le bien se concrétisera, quand le mal demeurera indéfiniment virtuel.

Ce sera toujours le mal qui donnera sa valeur au bien. Sans le mal, le bien n’en a aucune ; le bien se définira perpétuellement en tant que le contraire du mal.

Notre bonheur — le bonheur véritable — dépend de la possibilité de prouver notre attachement à Dieu, oui, notre amour et notre soumission, notre soumission par amour.

En décrétant que tout n’est pas bien, Dieu a plongé pour un temps l’Humanité dans le dualisme de l’existence, ouvrant en quelque sorte la boîte de Pandore…

Le péché est un acte libre et conscient par lequel l’homme refuse d’accomplir la volonté de Dieu, c’est-à-dire le bien, se séparant ainsi de Lui.

Il faut dès lors déterminer ce qui est bien et ce qui est mal.

La volonté de Dieu est donc, indirectement, génératrice du péché.

Ce qui nous pousse à croire que toute l’histoire de l’Humanité, depuis son tout début, est maîtrisée par l’Être Suprême ayant permis qu’elle advienne telle qu’elle est advenue. L’état du monde actuel est le résultat du cheminement de l’Humanité, et ce cheminement était connu de Dieu au travers de sa potentialité ! Nul besoin de prescience. Nul besoin de dessein.

Nous ne disons pas que Dieu n’est pas prescient ni qu’il n’a pas de dessein. Nous croyons au contraire en la prescience de Dieu. Et qu’il ait un dessein nous semble plausible, quand l’inverse nous semblerait saugrenu. Mais nous affirmons que, quelque soit son dessein et sa prescience — et aussi bon Dieu soit-il —, la responsabilité de Dieu dans l’existence du mal est indéniable car il est le seul à l’avoir rendu potentiellement possible. Nul autre que Lui ne pouvait faire exister qui ou quoi que ce soit, fut-ce potentiellement.

Nous ne parlons pas de la survenue du mal mais de son existence en tant que pendant du bien, en tant que sa définition inversée, en tant que son inexorable corollaire, oui, nous parlons du chemin fourbe qui s’oppose innément au droit chemin seul capable de nous mener vers l’approbation divine.

Là encore, nous vous donnerons sans doute l’impression d’accuser Dieu, alors qu’il n’en est rien ! Alors que notre but est au contraire de voir Dieu tel qu’il est, sans angélisme binaire.

Les croyants croient en l’interdiction première.

Le bien et le mal préexistaient à cette interdiction.

L’interdiction première fut le moyen choisi par Dieu pour permettre aux humains de prouver leur pleine confiance en Lui au travers d’une soumission sans faille.

Il n’y avait aucune autre interdiction expresse formulée car ne pas faire le mal était naturel chez Adam et Ève, oui, ne pas faire le mal était inscrit en eux, à leur conception.

Puisqu’il s’avère que Dieu a implicitement crée le mal en créant le bien, que dire du principal opposant de Dieu, appelé Satan le Diable (et parfois « le satan » sans majuscule) dans la Bible ?

Satan ne s’appelait pas Satan à la base. Le nom qu’il avait avant de se rebeller contre Dieu ne se trouve pas dans la Bible.

Comme toutes les créatures de Dieu, le premier ange déchu avait la faculté de décider de suivre pseudolibrement Dieu, le chemin de la vérité, ou de s’en détourner.

Si, de notre point de vue, il n’y a pas de liberté véritable dans la mort, il y a une apparence de liberté dans son choix.

La liberté appartient à la vie, pas à la mort. Voilà pourquoi nous usons de l’adverbe “pseudolibrement”, en adeptes de la notion de serf arbitre. Cette notion basique essentielle est constitutive de la relation pérenne que l’Humanité entretiendra un jour avec son Créateur. Il ne faut pas la confondre avec la notion de “libre arbitre” (ou “franc arbitre”) qui est le pouvoir de choisir librement ou de ne pas choisir un acte, une direction, une position, de choisir entre le bien et le mal, sans contrainte ni risque .

Cet ange rebelle jouissait donc d’une liberté relative, c’est-à-dire qu’il devait renoncer à ses prétentions pour se conformer à la ligne de pensée et de conduite données par Dieu.

Comme Adam et Ève, cet ange pouvait choisir son camp : opter pour celui du bien et rester attaché à Dieu, soumis, ou opter pour celui du mal et ne pas rester attaché à Dieu, devenant ainsi un insoumis.

Mais à la différence d’Adam et Ève, ce premier ange déchu ne s’est laissé séduire que par lui-même, quand Ève a été trompée par une ruse, et s’est faite ensuite le relais de cette tromperie [5].

Le passage biblique où Jésus explique que le Diable n’avait pas la vérité en lui est interpellant car il laisse entrevoir que cet ange avait un mauvais fond dès le départ, et que la forme d’autonomie dont il jouissait par la volonté de Dieu lui a permis de développer ce mauvais fond au détriment de l’harmonie qui régnait jusqu’alors dans l’univers [6].

Dès le départ, la potentialité qu’il en allât ainsi n’a pu échapper à Dieu. Dieu savait donc pertinemment que sa création tout entière était exposée à l’éventualité qu’il en aille ainsi qu’il s’en est allé [7].

Une fois cette éventualité concrétisée — ce devenir dévirtualisé —, Dieu qui, peut-être, n’en avait pas fait usage jusque là, a forcément dû faire usage de sa prescience.

En effet, seule la prescience permet d’expliquer les prophéties.

Sauf à supposer que Dieu fit intégralement usage de sa prescience. Auquel cas, Dieu connaissait toute l’histoire de l’Humanité avant même de créer Adam et Ève, et ce que nous traversons doit alors être considéré comme un passage obligé, un mal nécessaire.

Selon ce que la Bible nous en dit, Satan le Diable serait donc le premier ange qui n’a pas persisté dans la vérité. Il serait en conséquence le père du mensonge, de sa seule initiative, c’est-à-dire sans la moindre intervention ou influence extérieure.

Satan le Diable serait donc devenu mauvais par sa propre volonté ou de son propre fond.

Il serait apparemment la seule créature ayant eu spécifiquement le mal en elle, toutes les autres créatures subissant son influence, parfois jusqu’à se laisser séduire…

Ce premier ange déchu ne s’est, lui, laissé séduire par personne, sinon par lui-même.

Dans la Bible, il n’est pas précisé combien de temps l’ange qui s’est transformé le premier en démon est resté fidèle à Dieu.

Il n’est pas impossible que cet ange ait fomenté sa rébellion bien avant la création du premier couple d’humains constitué d’Adam et Ève.

Il n’est pas impossible non plus que d’autres anges se soient rangés à ses côtés bien avant le premier péché humain.

Tout cela, la Bible n’en parle pas explicitement.

Mais des certitudes se dégagent cependant de la Bible :

Dieu a laissé libre cours à la rébellion de cet Opposant et de ses Suivants (tous les autres anges devenus démons).

Dieu a donné à Satan le pouvoir de gouverner la Terre [8].

L’Humanité en pâtit depuis toujours [9].

Les témoignages bibliques sont nombreux qui nous montrent que des événements fâcheux sont arrivés aux humains avec la permission de Dieu, voire par sa volonté. Par exemple, Dieu connaissait l’éventualité que des anges se matérialisassent aux jours de Noé. (Il leur en avait donné la faculté.) Or, il ne les en a pas empêchés. À la suite de quoi il fit venir le Déluge sur la Terre [10].

Les malheurs de Job constituent un autre exemple remarquable.

La liste des martyrs qui ont jalonné l’Histoire est également éloquente.

Le fond du problème réside dans le dessein de Dieu, à savoir qu’il le veut ouvert et libre, ce dessein, peuplé d’êtres ouverts et libres de le suivre [11], c’est-à-dire exclusivement attachés au bien, se détournant systématiquement du mal.

Le fond du problème que l’Humanité traverse est donc consubstantiel au but que Dieu s’est fixé : créer une Humanité heureuse de lui être soumise en toutes circonstances, sachant qu’aucune autre voie ne mène à la perfection (ni ne maintient dans la perfection) indispensable à une vie sans fin. Cette soumission volontaire a rendu nécessaire d’exposer l’Humanité à son histoire, telle qu’elle s’est déroulée, avec son cortège d’horreurs. Quelle autre explication pourrions-nous donner aux malheurs de l’Humanité ? Malheurs qui — nous le rappelons — ont commencé dès le tout début…

Attention, il ne faut pas confondre “soumission volontaire” avec Le discours de la servitude volontaire d’Étienne de La Boétie. La servitude volontaire évoquée par Étienne de la Boétie est une des conséquences affligeantes du système de choses actuel, diamétralement opposé au système de choses à venir qui épanouira l’intégralité de l’univers.

Tout cela, Dieu l’a décrété en décidant unilatéralement de nous faire hériter de l’imperfection. Du reste, Dieu décide forcément toujours de tout de manière unilatérale, et ce depuis le départ de l’univers, étant le Créateur de toute chose. En décrétant que les humains devaient hériter de l’imperfection qui les mène à la mort, Dieu a plongé l’Humanité dans la situation qu’elle traverse, lui a imposé sa volonté, c’est-à-dire qu’il a transformé sa volonté en volition, oui, qu’il a concrétisé sa volonté, toute sa volonté, rien que sa volonté.

Après la désobéissance du premier couple d’humains, Dieu a décrété que la descendance de ce premier couple hériterait de l’imperfection et, donc, hériterait d’une mortalité non plus rétributive mais automatique.

Dieu a décrété en somme que les enfants payeraient pour la faute des parents, au moins durant une période transitoire. (Ce qui est en contradiction avec Ézéchiel 18:20.) Étant Dieu, il aurait pu décider de ne pas nous faire porter cette faute, puisque rien ne lui est impossible [12].

La position suprême de Dieu lui permet de décider de tout, définissant ainsi le bien et, implicitement, le mal. Il aurait pu appliquer sa condamnation aux seuls coupables de désobéissance, sans l’étendre à leur descendance.

L’avertissement divin ne concernait d’ailleurs que les rebelles — les rebelles étant ceux qui pécheraient délibérément contre Dieu en n’observant pas son interdiction de manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal [13].

Mais il en a décidé autrement. Dieu décide de tout, depuis toujours et pour toujours.

Après la désobéissance initiale — le fameux péché originel —, le plan divin s’est poursuivi. À aucun moment, Dieu n’a improvisé son plan, non, Dieu a poursuivi son plan. Car son plan est assurément adaptable à toutes les situations possibles et imaginables, même les plus improbables, même les plus surprenantes, même les plus horribles aussi.


[1Logique soutenue par l’analyse de l’interdiction première

[2Genèse 2:17

[3Principes de la loi de Murphy et de la loi de Finagle

[4Rasoir de Hanlon

[5Jean 8:44
1 Timothée 2:14

[6Jean 8:44

[7Romains 8:22

[8Luc 4:6

[9Romains 8:22

[10Genèse, chapitre 7

[11S’ils veulent rester en vie, ces êtres ne sont pas libres de suivre ou de ne pas suivre Dieu ; ces êtres ont l’obligation de le suivre.

[12Luc 1:37

[13Genèse 2:17

⚠️ Il n’est sans doute pas inutile de rappeler qu’il était impossible à d’autres humains de désobéir à l’ordre de ne pas manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, Adam et Ève ayant été chassés du jardin d’éden (dans lequel se trouvait l’arbre en question) avant d’enfanter Caïn. De sorte que la progéniture du premier couple ne pouvait devenir rebelle en désobéissant à l’interdiction première.

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