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SUPÉRIORITÉ DE L’HOMME SUR LES ANIMAUX
lundi 22 janvier 2024, par
Selon le livre de la Genèse (premier livre de la Bible), l’homme est supérieur aux animaux. [1]
Dès le départ, Dieu donne à l’homme le pouvoir de dominer sur les animaux, ce qui pourrait suffire à nous indiquer que nous leur sommes supérieurs. Mais si cela ne vous convainc pas, voici quelques arguments que vous jugerez peut-être plus pertinents :
L’homme a la capacité de conceptualiser et d’inventer une multitudes d’outils complexes qu’il sait faire évoluer au gré de ses besoins.
Jamais un animal n’a créé une montre à grandes complications – ni la plus basique des montres –, jamais un animal n’a créé un piano ou une guitare pour jouer de la musique, jamais un animal n’a créé les instruments utilisés par les chirurgiens, jamais un animal n’a écrit Le Petit Prince – ou quelque livre que ce soit –, jamais non plus un animal n’a édifié des cathédrales défiant le temps. Ne cherchez pas ! Jamais vous ne trouverez d’encyclopédie chez quelque primate que ce soit. Vous n’en trouverez pas davantage chez les poulpes aux multiples cerveaux.
Les performances intellectuelles de l’homme sont différentes de celles des animaux, et manifestement supérieures, sauf à nier les productions artistiques et scientifiques de l’homme – pour ne parler que de celles-là.
Néanmoins, l’Ecclésiaste constate avec amertume que l’homme n’est pas supérieur à l’animal, en définitive, puisque, « comme meurt l’un, ainsi meurt l’autre ». [2]
Nous pensons que les animaux sont inférieurs aux humains du point de vue de leur intelligence. Certes, ils n’en sont pas dépourvus, mais la leur est sans commune mesure avec celle des humains.
En raison de notre supériorité intellectuelle indéniable, il nous revient l’obligation morale de prendre soin d’eux, comme de plus faibles. Cela participe de la Grande Harmonie Universelle à venir.
Mais attention : la Grande Harmonie Universelle ne doit pas se concevoir en posant un regard purement matérialiste sur l’univers car ce regard risquerait de désacraliser la vie humaine. En sacralisant la vie animale à l’excès, en la mettant sur un pied d’égalité avec la vie humaine, nous nierions nos différences. Nier les différences nous entraîne toujours vers des dénégations mortifères, nous éloigne toujours de la Grande Harmonie Universelle .