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MÉDICAMENTS ET VACCINS

lundi 5 février 2024, par Blackman (human writer)

Quand Dieu a décidé de soumettre la création à une existence futile et pénible [1], la dégénérescence conduisant à la tombe annoncée au premier couple d’humains s’est étendue à tous [2].

Par cette décision unilatérale, Dieu a condamné l’Humanité tout entière pour une période de temps qu’il a jugé nécessaire au règlement de la question de la légitimité de sa domination.

Lutter contre cet état de choses revient à lutter contre cette sentence ou jugement divin.

Il est toutefois humain de vouloir se soigner, de vouloir combattre la maladie, d’essayer de prolonger sa vie autant que possible.

Quand nous cherchons à contrecarrer les ravages du temps, nous luttons d’une certaine manière contre Dieu. Il est évidemment naturel de vouloir se conserver dans le meilleur état possible, mais ce faisant nous essayons d’aller à l’encontre d’un résultat provoqué par une décision divine.

Nous appelons cela — le fait pour les croyants de lutter contre les maladies qui sont le fait de Dieu — le paradoxe croyantiel.

Les médicaments et les vaccins font partie du monde actuel, satanique, et feront un jour partie du passé, oui, disparaîtront tous, sans exception. Ils sont d’ailleurs apparus suite à l’imperfection induite par la désobéissance initiale.

La fidélité à Dieu de nombreux croyants vacillerait assurément si la science trouvait le moyen d’augmenter sensiblement la longévité humaine (la faisait passer à dix mille ans par exemple).

Cette fidélité à Dieu vacillerait plus sûrement encore si émergeait la possibilité que cette longévité devienne pérenne…

En filigrane, nous prétendons que l’attachement à Dieu de nombreux croyants est en partie motivé — sinon entièrement — par l’espoir qu’ils ont de bénéficier dans le futur du miracle divin qui prolongera indéfiniment leur vie [3].

Si ce miracle devait s’avérer n’être qu’une illusion, les liens développés par ces croyants avec leur Créateur s’en trouveraient probablement altérés, voire n’y résisteraient pas.

Quand nous prenons des médicaments et que nous nous faisons vacciner — ou que nous laissons les autorités supérieures nous imposer de nous faire vacciner —, nous marchons main dans la main avec le système de choses actuel, promis à une destruction certaine.

Autrement dit, nous avons un pied dans le monde satanique voué aux gémonies — que Dieu va faire disparaître dans un futur qui se rapproche — et un pied dans le monde à venir qui le remplacera, forgé par l’espoir (paradoxe croyantiel).

Plus notre confiance dans le système de choses actuel (en ses promesses médicales notamment) est grande, plus notre confiance en cet espoir d’un monde nouveau et en son absolue nécessité risquent de s’affaiblir [4].

Il existe un danger à mettre notre confiance dans « les choses qui sont dans le monde », ou à aimer « les choses qui sont dans le monde », comme les médicaments et les vaccins notamment, qui disparaîtront avec le présent système de choses, quand le divin système de choses à venir demeurera, lui, pour toujours.

Il revient à Dieu de nous sauver, pas aux « choses qui sont dans le monde ».

Cependant, nous le répétons : il est humain d’espérer obtenir de l’aide quand on est frappé par la maladie, surtout si celle-ci menace directement notre vie. Oui, chercher à être soulagés par des médicaments quand nous souffrons est humain.

Quant à se prémunir de certaines affections grâce aux vaccins, la science revendique qu’il peut parfois s’avérer efficace de le faire.

Mais restons conscients qu’aucun remède au monde — qu’il soit curatif ou préventif — n’éloignera longtemps de nous la mort adamique…

Tout au plus ces thérapeutiques qui nous permettront de lutter contre un état de santé voulu par Dieu prolongeront-elles nos vies de quelques années, et les rendront potentiellement moins inconfortables, voire moins pénibles.

La prolongation de leur vie, même de quelques mois à peine, même de quelques semaines, même de quelques jours, a de l’importance pour les mourants.

Nous devons remarquer que, quand ils ne sont pas malades, tous les hommes n’en demeurent pas moins des mourants en puissance.

Face au risque de perdre leur vie, la plupart des hommes souhaitent légitimement se faire soigner, et guérir quand c’est possible.

Il n’empêche que notre dégénérescence résulte d’une décision divine. Ne l’oublions jamais !

Et ne laissons pas la science nous égarer ! Non, ne la laissons pas nous éloigner de Dieu !

Dieu est la cause des maladies et de la mort. Provoqué, il a jugé nécessaire de s’y prendre comme il s’y ait pris, laissant temporairement le monde à la dérive. Mais avec la promesse de rétablir le paradis initial, et une santé parfaite pour ses hôtes. Et la promesse de réparer les injustices qu’il a laissées se produire [5]. C’est cela qu’il faut prioritairement garder à l’esprit !

Le meilleur des médicaments ou le meilleur des vaccins — c’est-à-dire les moins mauvais — ne remplacera jamais l’action de Dieu.


[1Genèse 3:17-19

[2Romains 8:20

[31 Jean 2:25 | Apocalypse (Révélation à Jean) 21:4

[41 Jean 2:15 | Jacques 4:4

[5Apocalypse (Révélation à Jean) 21:4-5

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