Accueil > Articles > Observations > ANIMALITÉ HUMAINE

ANIMALITÉ HUMAINE

jeudi 24 juillet 2025, par Observation (human writer)

Vaste sujet que celui de notre animalité !

Comme la bête, l’homme fait de chair et de sang est soumis à beaucoup de contraintes existentielles. Ce qui distingue l’homme de l’animal, c’est l’apparent détachement des animaux face à la mort, en dépit de leur instinct de conservation qui peut se manifester en présence d’un prédateur notamment.

L’homme — du moins, certains d’entre les hommes — se distingue de l’animal par sa conscience. Toujours à la recherche de ses origines et de solutions qui pourraient le faire échapper à son destin funeste, la mort, l’homme invente continuellement son avenir [1] et son devenir, ce qu’aucun autre animal, en dehors de lui, n’a fait jusqu’à présent.

Faut-il admettre que l’homme a évolué plus vite que les autres animaux, se détachant en partie des autres êtres animés ? Il semble bien qu’il faille le considérer ainsi.

Mais quelque soit le stade de notre évolution, et si grand soit l’écart intellectuel qui nous sépare toujours plus des autres animaux au travers des accessoires technologiques dont nous disposons collectivement ou individuellement, nous n’échappons guère au constat qu’en nous sommeillent des parts d’ombre et une animalité ancestrale.

Nous ne polémiquerons pas sur la question de savoir si tous les humains ont individuellement atteint le même stade, tant il nous paraît évident que ce n’est pas le cas ! Nous aborderons donc cet article en considérant les humains en tant qu’entité, c’est-à-dire d’un point vue global et synergique [2].

Ce que nous ne pouvons nier, c’est cette sorte d’ambivalence qui est la nôtre, d’être des animaux doués d’entendement. Oui, d’être, d’une certaine manière, des esprits prisonniers dans un corps de chair, un corps animal. Tour à tour en quête d’élévation spirituelle, de transcendance, et tour à tour enclins aux plus viles pensées, à d’abjects comportements. Sans aller aussi loin, nous conviendrons que nous commettons des actes revalorisants et d’autres dévalorisants.

Lorsqu’on analyse la sexualité humaine, même dans un cadre idéal (respectueux et convenable), même lorsqu’elle est empreinte, comme elle peut l’être parfois, d’un tendre et sincère amour, celle-ci a quelque chose de cucul la praline. La mécanique du coït a quelque chose de ridicule, quelque chose de bestial. Au point que l’on pourrait en arriver à se dire, même après le partage d’un bel orgasme, « tout ça pour ça ! ». Et cependant, combien ne sommes-nous pas à nous être abîmés dans l’animalité de rapports sexuels éperdus ? Combien de disputes à leur propos de nombreux couples n’ont-ils pas traversées, l’un ou l’autre étant frustré de constater l’apathie passagère de son partenaire ? Combien de crimes n’ont pas été commis pour quelques instants d’égarement ? Combien de malheurs ne s’en sont pas suivis ?

En résumé, cet article aborde la dualité fondamentale de la condition humaine, tiraillée entre animalité et spiritualité. Il établit que si l’homme partage avec l’animal les contraintes de l’existence corporelle, il s’en distingue par sa conscience de la mort et sa capacité à imaginer son avenir. Cette évolution intellectuelle, amplifiée par la technologie, n’efface pas pour autant notre héritage animal ancestral. L’humanité est ainsi caractérisée par une ambivalence profonde : nous sommes des “esprits prisonniers dans un corps de chair”, oscillant entre aspirations transcendantes et pulsions primitives. Cette nature contradictoire se manifeste dans nos actions, tantôt nobles, tantôt viles, révélant la coexistence permanente de nos dimensions spirituelle et animale.

Synthèse par ChatGPT


[1Il arrive qu’il invente aussi son passé, mais cela, c’est une autre histoire ! (C’est le cas de le dire 😉.)

[2La synergie désigne une situation où l’effet combiné de plusieurs éléments qui travaillent ensemble produit un résultat supérieur à la simple somme de leurs effets individuels. C’est ce que l’on résume souvent par la formule : « 1 + 1 = 3 » ou « le tout est supérieur à la somme des parties ».

Un message, un commentaire ?

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.